Kamose and the Hyksos in the oasis of Djesdjes;Kamose et les Hyksos dans l'oasis de Djesdjes

Bulletin de l'Institut Francais d'Archeologie Orientale du Caire

Volumn 105, Issue , 2005, Pages

  Colin, Frédéric ^a  

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EID: 67650129391     PISSN: 02550962     EISSN: None     Source Type: Journal    
DOI: None     Document Type: Article

References (69)

1. Sur le genre littéraire (Königsnovelle ou non) auquel appartient ce récit, A. PICCATO, «The Berlin Leather Roll and the Egyptian Sense of History», LingAeg 5, 1997, p. 150.
2. Pour les éditions et traductions principales, A. H. GARDINER, «The Defeat of the Hyksos by Kamose: the Carnarvon Tablet, No. I», JEA 3, 1916, p. 110;
3. P. MONTET, «La stèle du roi Kamose», CRAIBL 1956, p. 114-118;
4. R. STADELMANN, «Ein Beitrag zum Brief des Hyksos Apophis», MDAIK 20, 1965, p. 62-69;
5. E. BRESCIANI, Letteratura e poesia dell'antico Egitto, Turin, 1969 (1990), p. 246-250;
6. L. HABACHI, The Second Stela of Kamose and his Struggle against the Hyksos Ruler and his Capital, ADAIK 8, Glückstadt, 1972,
7. cf. M. GITTON, BiOr 31, 1974. p. 249-251.
8. W. BARTA, BiOr 32, 1975, p. 287-290,
9. W. J. MURNANE, JNES 37, 1978, p. 277-278;
10. W. HELCK, Historisch-Biographische Texte der 2. Zwischenzeit und neue Texte der 18. Dynastie, KÄT 6, Wiesbaden, 1975, p. 82-97 (no 119);
11. H. S. S. et A. SMITH, «A Reconsideration of the Kamose Texts», ZÄS 103, 1976, p. 48-76;
12. H. GOEDICKE, Studies about Kamose and Ahmose, Baltimore, 1995, p. 31-105;
13. D. B. REDFORD, «Textual Sources for the Hyksos Period», dans E. D. OREN (éd.), The Hyksos: New Historical and Archaeological Perspectives, University Museum Monograph 96, University Museum Symposium Series 8, Philadelphia, 1997, p. 13-15 (no 68-69);
14. voir aussi les commentaires de J. VON BECKERATH, Untersuchungen zur politischen Geschichte der Zweiten Zwischenzeit in Ägypten, ÀgForsch 23, Glückstadt, 1964, p. 207-209,
15. J. BOURRIAU, «Some Archaeological Notes on the Kamose Texts», dans A. LEAHY, J. TAIT (éd.), Studies on Ancient Egypt in Honour of H. S. Smith, EES Occ. Publ. 13, Londres, 1999, p. 43-48
16. et Cl. VANDERSLEYEN, L'Égypte et la vallée du Nil, 2, Nouvelle Clio, Paris, 1995, p. 192-196.
17. Sur la découverte du monument, M. HAMMAD, «Découverte d'une stèle du roi Kamose», CdE 30, 1955, p. 198-208;
18. L. HABACHI, «Preliminary Report on Kamose Stela and Other Inscribed Blocks Found Reused in the Foundations of Two Statues at Karnak», ASAE 53, 1956, p. 195-202.
19. L. L. GIDDY, Egyptian Oases. Bahariya, Dakhla, Farafra and Kharga during Pharaonic Times, Warminster, 1987, p. 43;
20. même découpage des événements chez A. FAKHRY, The Oases of Egypt, II, Bahriya and Farafra Oases, Le Caire, 1974, p. 59,
21. et D. O'CONNOR, «The Hyksos Period in Egypt», dans E. D. OREN (éd.), The Hyksos, p. 45.
22. D. B. REDFORD, «The Oases in Egyptian History to Classical Times part III (c. 1650 B.C.-C. 1000 B.C.)», JSSEA 7.3, 1977, p. 2 et n. 35,
23. et Cl. VANDERSLEYEN, L'Égypte, p. 194, dissocient aussi ces événements, mais supposent en outre que l'oasis où fut saisi le messager était Kharga, car elle est située à la même latitude que la Thébaïde.
24. H. S. S. et A. SMITH, «A Reconsideration», p. 61 et 72: «Kamose was able to attack the Asiatics while they were still in Bahriya, and to capture the letter of Apophis».
25. Sur le sdcombining macron belowm.n=f prédicatif assumant, malgré l'absence d'indicateur d'initialité icombining comma abovew, une fonction verbale dans une proposition principale, voir, pour l'époque de notre texte, T. RITTER, «The Distribution of Past Tense Verbal Forms in 18th Dynasty non-Literary Texts from Kamose to Amenophis III», LingAeg 1, 1991, p. 285-288.
26. «Above the oasis» (M. HAMMAD, «Découverte» , p. 207);
27. «au-dessus de l'oasis» (P. MONTET, «La stèle», p. 116);
28. «sulla via dell'oasi» (E. BRESCIANI, Letteratura, p. 249);
29. «beyond the oasis» (L. HABACHI, The Second Stela, p. 39;
30. voir la note b); «high up over the oasis» (A. FAKHRY, The Oases, p. 58);
31. «on the upland oasis (route)» (H. S. S. et A. SMITH, «A Reconsideration», p. 61);
32. «the upland Whcombining dot belowinverted c sign.t» (L. L. GIDDY, Egyptian Oases, p. 43);
33. «at the height of the oasis», «south of the oasis (road)» (H. GOEDICKE, Studies about Kamose, p. 79; 89; 104; cf. P. 80-81);
34. «in the oasis upland» (D. B. REDFORD, «Textual Sources», p. 14);
35. «à l'est de l'oasis (= Bahariya?)» (M. VALLOGGIA, Les oasis d'Égypte dans l'Antiquité des origines au deuxième millénaire avant J.-C., Bischheim, 2004, p. 39).
36. Le rapprochement étymologique entre whcombining dot belowinverted c sign.t «chaudron» et whcombining dot belowinverted c sign.t «oasis» (cf. G. ROQUET, «Oasis - ho mnasi. Des textes des pyramides à Théophraste. Datation relative de processus morphophonologiques par l'emprunt», Hommages à J. Leclant, 4, BdE 106, Le Caire, 1994, p. 305-306)
37. L'origine métaphorique des termes techniques de géographie n'est pas rare, comme dans le français «cuvette», pour citer un autre exemple de récipient employé pour décrire une dépression naturelle. L'hypothèse d'une origine «libyque» du terme whcombining dot belowinverted c sign.t (cf. J. LECLANT, «Oasis. Histoire d'un mot», Mélanges P. Galand-Pernet et L. Galand, Comptes rendus du GLECS. Supplément 15, 1993, p. 57),
38. en revanche, ne peut être confirmée, car le vieux libyque, que l'on peut seulement étudier à partir du Nouvel Empire (cf. Fr. COLIN, «Le «vieux libyque» dans les sources égyptiennes (du Nouvel Empire à l'époque romaine) et l'histoire des peuples libycophones dans le nord de l'Afrique», BACT, n.s., Afrique du Nord, 25, années 1996-1998 [1999], p. 13-18). ne possède apparemment pas la consonne hcombining dot below.
39. Il n'est donc pas nécessaire de supposer, comme Cl. VANDERSLEYEN, L'Égypte, p. 194, n. 1, que «cette différence de termes serait l'indice d'une différence de lieux».
40. D. B. REDFORD, «Textual Sources», p. 21: «The Hyksos artifact in Nubia attest to nothing more than trade via the oasis route»;
41. id., «The Oases», p. 2: «To this control [sur les oasis de Bahariya et Farafra] the Hyksos fell heir, and they apparently used the oasis road as their means of entry into Nubia. It must have been via this route that the lively trade evidenced by «Hyksos» imports into Kush made its way»;
42. J. BOURRIAU, «Beyond Avaris: The Second Intermediate Period in Egypt Outside the Eastern Delta», dans E. D. OREN (éd.), The Hyksos, p. 168: «(The Hyksos traded) to the south by the desert route»;
43. ead., «Some Archaeological Notes on the Kamose Texts», dans A. LEAHY, J. TAIT (éd.), Studies H. S. Smith, p. 47: «Access to the gold mines made the Buhen settlers wealthy and allowed them to continue to import luxury goods from the north, via the oasis route, after the Nile was closed»; «Until then goods, gold (and men?) moved back and forth via the western oases so as to avoid Upper Egypt».
44. Voir cependant J. BOURRIAU, «Relations between Egypt and Kerma during the Middle and New Kingdoms», dans W. V. DAVIES (éd.), Egypt and Africa. Nubia from Prehistory to Islam, Londres, 1991 [1993], p. 130, qui met sérieusement en doute l'existence de réels échanges commerciaux entre le nord hyksos et le royaume de Kouch/Kerma: «That diplomatic contacts existed is made evident by the letter from the Hyksos king to the Prince of Kush, now identified with the Ruler of Kerma, but they are not proof of direct contacts of any other kind».
45. Sur les Tell el-Yahudia wares et un scarabée au nom d'un haut personnage hyksos trouvés à Kerma, dans des couches de la phase Kerma classique II, voir P. LACOVARA, «Egypt and Nubia during the Second Intermediate Period», dans E. D. OREN (éd.), The Hyksos, p. 78 et p. 84-85 (Y. Markowitz).
46. T. SÄVE-SÖDERBERGH, «The Nubian Kingdom of the Second Intermediate Period», Kush 4, 1956, p. 58: le savant envisageait l'hypothèse selon laquelle «the purpose of the raid was simply to cut off every possible communication between the Hyksos and the Nubian king»;
47. D. O'CONNOR, «The Hyksos Period», p. 44: «Kamose, however, sent troops to occupy Bahariya Oasis and foiled this ambitious plan, for Avaris and the Kushites could only communicate, and thus coordinate their military strategies, via the Western Desert routes»;
48. P. MONTET, Géographie de l'Égypte ancienne, II, Paris, 1961, p. 167: «Peu de temps après la prise de Neferousi, Kamose fut amené à entreprendre une expédition contre les oasis, pour couper les communications entre le roi d'Avaris et le roi de Kouch»;
49. M. VALLOGGIA, Les oasis, p. 39: «En assujettissant l'oasis, il coupa la dernière voie de communication entre ses adversaires du nord et du sud.»
50. Wb. III 253, 2-7.
51. Selon H. GOEDICKE, Studies about Kamose, p. 79, cette expression «appears to denote here a political rather than a social relationship, as it becomes commonly used». On peut soutenir, cependant, que la métaphore a une force d'impact d'autant plus grande qu'elle applique à une relation politique un terme pleinement connoté par sa signification sociale de base.
52. J. BOURRIAU, «Relations between Egypt and Kerma», p. 130;
53. ead., «Beyond Avaris», p. 168;
54. ead., «Egyptian Pottery found in Kerma Ancien, Kerma Moyen and Kerma Classique Graves at Kerma», dans T. KENDALL (éd.), Nubian Studies 1998. Proceedings of the Ninth Conference of the International Society of Nubian Studies, Boston, 2004, p. 12.
55. J. C. et D. DARNELL, Annual Report 1992-93 à 1997-98;
56. id., «The Luxor-Farshût Desert Road Survey», BCE 18, 1994, p. 49, et 19, 1996, p. 37-38;
57. id., «The Theban Desert Road Survey», NARCE 172, 1997, p. 11.
58. Id., Annual Report 1994-95, 1997-98;
59. Voir la bibliographie rassemblée dans M. BAUD, «Balat/'Ayn-Asil, oasis de Dakhla. La ville de la Deuxième Période intermédiaire», BIFAO 97, 1997, p. 25-28.
60. e dynastie (Deuxième Période intermédiaire) découverte en contexte artisanal à 'Ain Aseel (Oasis de Dakhleh)», dans G. E. BOWEN, C. H. HOPE (éd.), The Oasis Papers 3. Proceedings of the Third International Conference of the Dakhleh Oasis Project, DOP Monograph 14, Cambridge, 2003, p. 120.
61. Cf. la problématique soulevée dans la conclusion de M. BAUD, «Balat/'Ayn-Asil», p. 28.
62. Notre équipe a prospecté ce site en 1999, 2000 et 2001, et prélevé des tessons visibles en surface pour étude (entreposés à l'Inspectorat de Bawiti), cf. Fr. COLIN, D. LAISNEY, S. MARCHAND, «Qaret el-Toub: un fort romain et une nécropole pharaonique. Prospection archéologique dans l'oasis de Bahariya 1999», BIFAO 100, 2000, p. 156-157;
63. B. MATHIEU, «Travaux de l'Ifao en 2000-2001», BIFAO 101, 2001, p. 512;
64. e dynastie», p. 120, n. 8 (corriger «Khataba» en «Khabata»). Sur les amphores africaines importées observées en surface de l'habitat romain, voir M. BONIFAY, «Observations préliminaires sur les amphores africaines de l'oasis de Bahariya (Mission Ifao)», à paraître dans CCE 8.
65. La nécropole a par la suite été mentionnée par M. BÁRTA, V. BRŮNA, J. SVOBODA, M. VERNER, «El-Heyz Survey. Baharia Oasis» (2003), p. 11,
66. cf. aussi M. BÁRTA, V. BRŮNA, V. ČERNÝ, J. MUSIL, J. SVOBODA, M. VERNER, «Archaeological Survey of El-Hayez. Baharia Oasis» (2004), p. 7-8 (http://egypt.cuni.cz/Hajez.htm), mais les auteurs ne paraissent pas avoir détecté l'occupation d'époque pharaonique (cf. 2003, p. 13: «So far there were noted no pharaonic monuments in the area even though some toponyms would indicate otherwise (Tabla Amun, Tahuna)»).
67. La fouille en 2005 du secteur nord de la nécropole, en revanche, n'a pas permis de confirmer l'identification d'un bol caréné à base annulaire en pâte locale comme une imitation d'un modèle du Bronze Moyen II B/C, cf. Fr. COLIN, C. DUVETTE, «Recherches archéologiques dans l'oasis de Bahariya (2004)», DHA, 30/2, 2004, p. 126-127; cette identification doit donc être considérée pour l'instant avec la plus grande réserve.
68. M. BIETAK, «The Center of Hyksos Rule: Avaris (Tell el-Dab'a)», dans E. D. OREN (éd.), The Hyksos, p. 96, fig. 4.7,
69. cf. auparavant M. F. KAPLAN, The Origin and Distribution of Tell el Yahudiyeh Ware, SMA, 62, Göteborg, 1980, p. 214, map 6.