Neoliberal ideology and political entrepreneurship in Japan;Idéologie néolibérale et entreprenariat politique au Japon

Critique Internationale

Volumn 32, Issue 3, 2006, Pages 153-171

  Tiberghien, Yves ^a  

^a UNIVERSITY OF BRITISH COLUMBIA   (Canada)

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EID: 67649797910     PISSN: 12907839     EISSN: None     Source Type: Journal    
DOI: 10.3917/crii.032.0153     Document Type: Article

References (25)

1. Chalmers A. Johnson, MITI and the Japanese Miracle: The Growth of Industrial Policy, 1925-1975, Stanford, Stanford University Press, 1982, et Japan, Who Governs? The Rise of the Developmental State, New York, Norton, 1995.
2. On trouvera d'excellentes analyses de l'évolution du modèle économique japonais à la fin des années 1970 et au début des années 1980 dans Jean-Marie Bouissou, Quand les sumos apprennent à danser : la fin du modèle japonais, Paris, Fayard, 2003 ; Jean-Marie Bouissou, François Gipouloux, Éric Seizelet, Japon: le déclin ? Bruxelles, Complexe, 1995 ; Kent Calder, « Assault on the Bankers' Kingdom: Politics, Markets, and the Liberalization of Japanese Industrial Finance », dans Michael Loriaux, Meredith Woo-Cumings, Kent Calder, Sylvia Maxfield, Sofia A. Perez (eds), Capital Ungoverned: Liberalizing Finance in Interventionist States, Ithaca, Cornell University Press, 1997 ; Claude Meyer, La puissance financière du Japon, Paris, Économica, 1996 ; T. John Pempel, Regime Shift: Comparative Dynamics of the Japanese Political Economy, Ithaca, Cornell University Press, 1998.
3. Hideo Otake, Jiyushugi teki kaikaku no jidai: 1980 nendaki zenhan no nihon seiji (L'ère de la réforme libérale : la politique japonaise au début des années 1980), Tokyo, Chuokoronsha, 1994, et Gyokaku no hasso (Une idée de la réforme administrative), Tokyo, DBS Britannica Press, 1997.
4. Hiroshi Kato, « Putting Japan's Structural Reform into Perspective », Japan Review of International Affairs, automne 2002, p. 165-181.
5. En 2001, Takenaka était ministre d'État chargé de la politique économique et fiscale et des technologies de l'information ; en 2002, il est devenu ministre d'État chargé des services financiers et de la politique économique et fiscale, et en 2005, ministre d'État chargé de la politique économique et fiscale et de la privatisation des services postaux.
6. Pour un traitement théorique plus approfondi, voir Yves E. Tiberghien, The Corporate Restructuring Dilemma: Globalization and Political Entrepreneurs in France, Japan, and Korea, Ithaca, Cornell University Press, à paraître en 2007.
7. Richard Samuels, Machiavelli's Children: Leaders and their Legacies in Italy and Japan, Ithaca, Cornell University Press, 2003.
8. Pour d'excellentes analyses de la politique de réformes sous Hashimoto, voir Jennifer Ann Amyx, Japan's Financial Crisis: Institutional Rigidity and Reluctant Change, Princeton, Princeton University Press, 2004 ; J.-M. Bouissou, Quand les sumos apprennent à danser : la fin du modèle japonais, op. cit. ; Atsuhi Kusano, Renritsu seiken: Nihon no seiji 1993 (Le gouvernement de coalition : la politique japonaise depuis 1993), Tokyo, Bungei Shunju, 1999 ; Henry Laurence, Money Rules: The New Politics of Finance in Britain and Japan, Ithaca/Londres, Cornell University Press, 2001 ; Tetsuro Toya, Jennifer Amyx. The Political Economy of the Japanese Financial Big Bang: Institutional Change in Finance and Public Policymaking, New York, Oxford University Press, 2006.
9. Tanaka Makiko a surnommé Koizumi henjin (personne bizarre, différente des autres) lors de la campagne pour la présidence du PLD en 1998.
10. Voir Hans H. Baerwald, Party Politics in Japan, Boston, Allen & Unwin, 1986 ; Karel van Wolferen, The Enigma of Japanese Power, New York,Vintage Books, 1990.
11. Kenji Hayao, The Japanese Prime Minister and Public Policy, Pittsburgh, University of Pittsburgh Press, 1993 ; Tomohito Shinoda, Leading Japan: The Role of the Prime Minister, Westport (Conn.), Praeger, 2000 ; Harukata Takenaka, « Introducing Junior Ministers and Reforming the Diet in Japan », Asian Survey, 42 (6), 2001, p. 928-939.
12. R. Samuels, « Leadership and Political Change in Japan: The Case of the Second Rincho», Journal of Japanese Studies, 29 (1), 2003, p. 18.
13. Ibid., p. 19-20.
14. Ibid., p. 22.
15. On trouve une bonne analyse de l'évolution des syndicats au Japon dans J.-M. Bouissou, L'envers du consensus : les conflits et leur gestion dans le Japon contemporain, Paris, Presses de Sciences Po, 1997 et dans Quand les sumos apprennent à danser : la fin du modèle japonais, op. cit. ; Ikuo Kume, Disparaged Success: Labor Politics in Postwar Japan, Ithaca, Cornell University Press, 1998.
16. H. H. Baerwald, Party Politics in Japan, op. cit., p. 173.
17. Hashimoto Ryutaro dirigeait la commission du PLD chargée des réformes administratives sous Nakasone. Cette commission était officiellement présidée par le Premier ministre, mais c'était en fait Hashimoto qui en avait la charge. Contrairement à ce qui se passe d'habitude pour les commissions des partis, celle-ci était directement sous l'autorité du bureau exécutif du PLD, sans s'insérer dans la structure complexe utilisée pour d'autres questions (cf. R. Samuels, Machiavelli's Children: Leaders and their Legacies in Italy and Japan, op. cit., p. 13).
18. Voir Y. E. Tiberghien, The Corporate Restructuring Dilemma: Global Incentives, Political Entrepreneurs, and Corporate Governance Reforms, op. cit..
19. Voir par exemple « Bills Raise Fears of Bureaucratic Control », Nikkei Weekly, 2 août 1999.
20. Ministry of Economy, Trade, and Industry.
21. Gerald Curtis, « The Koizumi Administration: Its Significance and Prospects », Japan Review of International Affairs, 15 (3), 2001, p. 291-303.
22. Aurelia George Mulgan, Japan's Failed Revolution: Koizumi and the Politics of Economic Reforms, Canberra, Asia Pacific Press, 2002, p. 146.
23. Pour un excellent récit de la bataille postale, voir « La plus belle heure de Koizumi », dans Nobuhiro Hiwatari, « Japan in 2005: Japan's Finest Hour », Asian Survey, 46 (1), 2006, p. 22-36.
24. Ibid., p. 31.
25. Entretien personnel avec Tanaka Naoki, conseiller économique principal du Premier ministre Koizumi, août 2003.