Les dockers retour sur le long processus de construction d'une identité collective en france, xixe-xxe siècles

Geneses

Volumn 42, Issue 1, 2001, Pages 5-25

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EID: 67349189720     PISSN: 11553219     EISSN: None     Source Type: Journal    
DOI: 10.3917/gen.042.0005     Document Type: Article

References (133)

1. Sur les débats qui ont traversé l'histoire sociale on se reportera, entre autres, à Christophe Charle (éd.), Histoire sociale; histoire globale ? Actes du colloque des 27-28 janvier 1989, Paris, Éd. de la MSH, 1993; Bernard Lepetit (éd.), Les formes de l'expérience. Une autre histoire sociale, Paris, Albin Michel, 1995, Gérard Noiriel, Sur la « crise » de l'histoire, Paris, Belin, 1996
2. et Antoine Prost, Douze leçons sur l'histoire, Paris, Seuil, 1996.
3. A. Prost, « L'histoire ouvrière en France aujourd'hui», Historiens et Géographes, no spécial « Histoire ouvrière », Michel Pigenet, Jean-Louis Robert (éd.), no 350, octobre 1995, p. 208.
4. Voir Y. Schwartz (éd.), Reconnaissance du travail Pour une approche ergologique, Paris, Puf, 1997.
5. À l'exemple, dans un autre contexte, des bûcherons qui avaient précédemment retenu notre attention. Voir M. Pigenet, «Ouvriers, paysans nous sommes ». Les bûcherons du Centre de la France au tournant du siècle, Paris, L'Harmattan, 1993.
6. On sait comment, en réplique au film d'Elia Kazan, Sur les quais, dont la dénonciation, en 1954, du contrôle exercé par la pègre sur les organisations de dockers de la côte est des États-Unis tendait à confondre syndicalisme et pègre, Sydney Lumet proposa, avec Vu du pont, réalisé en 1962, une autre vision des travailleurs portuaires.
7. e siècle, Fribourg, Office du livre, 1983.
8. Voir John Lovell, Stevedores and Dockers. A Study of Trade Unionism in the Port of London 1870-1914, London, Mac Millan & Co ltd, 1969
9. et Eric L. Taplin, The Dockers' Union; A Study of the National Union of Dock Labourers, 1889-1922, Leicester, Leicester University Press, 1986.
10. E. Nijhof, « Des journaliers respectables. Les dockers de Rotterdam et leurs syndicats, 1880-1965 » in Dockers de la Mé diterranée à la mer du Nord Des quais et des hommes dans l'Histoire, Aix-en-Provence, Édisud, 1999, pp. 115-125.
11. e siècle » in Dockers de la Méditerrané e, op. cit., pp. 215-223.
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13. Archives nationales (AN), F7 13699. Dockers, historique, organisation. Congrès des 13 et 14 avril 1901.
14. e congrès de la Confédération, Toulouse, 3-10 octobre 1910, Toulouse, Imprimerie ouvrière, 1911, p. 365. Allant au plus court, les rédacteurs du compte rendu ne s'embarrassent pas de subtilités et réunissent l'ensemble des organisations des Ports et Docks sous la rubrique « Fédération des Dockers ».
15. Congrès fédéral, 27-29 janvier 1938, Nantes, Paris, L'Émancipatrice, 1938.
16. Journal officiel du 20 août 1947. Exposé des motifs du projet de loi.
17. Intervention de Gérard Leclercq, Congrès fédéral national, 18-19 mai 1960, Paris, Imprimerie de la Fédération, s. d.
18. Si la plupart insistent à ce propos sur son passé de « magasinier», les moins aimables parlent de « docker de péniches».
19. L'Avenir des Ports, février 1962.
20. re éd., Paris, Stock, 1945), p. 186.
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22. J.-P. Avenel, « Les dockers du Havre. Aspects psycho-sociologiques et médicaux de la vie du groupe », thèse de médecine, Paris, 1960.
23. e siècles, Paris, Aubier, 1995, p. 193
24. signale, d'un point de vue plus général, la place du danger et du risque, « plus que du travail lui-même », dans l'émergence d'une «identité commune aux populations maritimes des temps modernes».
25. L'Avenir des Ports, juin 1948.
26. Loic Hislaire, Dockers, corporatisme et changement, Transport Actualités- GEP Communication, 1993, pp. 14 et 104.
27. G. Denigot, « Docker à Saint-Nazaire», in ADRET, Travailler deux heures par jour, Paris, Seuil, 1977, p. 53.
28. Témoignage de Louis Vaubaillon cité par P. Veyron, « Les dockers du port de Rouen (1919-1947) », maîtrise, université de Rouen, 1979, annexes.
29. Témoignage recueilli par S. Béroud, « Représentations individuelles au sein d'un système corporatif en crise: l'exemple des dockers de Fos», Paris, mémoire IEP, 1992, p. 81.
30. e siècles) », contribution au colloque «Les Solidarités», Bordeaux, 16-17 juin 2000, actes à paraître.
31. À la suite de Selig Perlman, Denis Segrestin conteste, notamment à propos des dockers, l'équivalence trop rapidement établie entre corporatisme syndical d'une part et conservatisme ou absence de conscience de classe d'autre part. Voir D. Segrestin, « Du syndicalisme de métier au syndicalisme de classe: pour une sociologie de la CGT», Sociologie du travail, no 2, 1975, pp. 152-173.
32. C. Kerr, A. Siegel, «The Inter-Industry Propensity to Strike: an International Comparison», in A. Kernhauser, R. Dublin, A. M. Ross (éd.), Industrial Conflict, New York, Mac Graw Hill, 1954.
33. Voir notamment E. Nijhof, « Le syndicalisme militant et pragmatique: les dockers de Rotterdam, 1945-1965 » in M. Pigenet (éd.), «Le syndicalisme docker depuis 1945 », Cahiers du Grhis, no7, 1997, p. 109.
34. Voir M. Pigenet, «La liqueur et le fiel ou le difficile cheminement des dockers vers l'unité» in La CGT et le Front populaire, Montreuil, Institut CGT d'Histoire sociale, 1997, pp. 77-109.
35. M. Pigenet, «Les dockers français, "garde-côtes de la paix" », in Images et mouvements du siècle. Chronique sociale, t. II, Paris, ICGTHS-Édition France-Progrès, 1999, pp. 409-416. L'option internationaliste du syndicalisme docker s'affiche dès la création de la Fédération nationale en 1901, année où se constitue à Marseille un «syndicat international», ouvert à tous les travailleurs du port sans distinction d'origine. Précisons qu'à l'échelon national comme au niveau local, ce choix idéologique procède aussi de considérations tactiques.
36. Déclaration de la Commission de la Défense nationale de l'assemblée, le 22 février 1950.
37. François De Closets, Tous ensemble. Pour en finir avec la syndicratie, Paris, Seuil, 1985. Au sujet des dockers, l'auteur évoque un «paroxysme du pouvoir syndical».
38. F. Grosrichard, «La corpo des dockers », Le Monde du 14 mai 1992.
39. L'Express du 25 mai 1992.
40. A. Le Marchand, « Le syndicalisme docker au Havre depuis 1947; de l'action structurante à la double contrainte», Cahiers du Grhis, no 7, 1997, p. 93.
41. À Marseille, au milieu des années 1990, « un docker ordinaire travaillant sur les conteneurs gagne 170000 francs par an». Alfred Pacini, Daniel Pons, Dockers à Marseille, Paris, Payot, 1996, pp. 306.
42. Le 24 juillet 1947, à la veille du vote du statut des dockers, la Chambre de commerce du Havre se prononce contre l'allocation « d'avantages supplémentaires » à une « corporation privilégiée ». Journal de la marine marchande du 21 août 1947.
43. J. Dupuydauby, La filière portuaire française. Mission de réflexion et de proposition. Rapport au ministre des Transports et au secrétariat à la mer, Paris, décembre 1986.
44. F. Grosrichard, « La corpo des dockers », Le Monde du 14 mai 1992.
45. Bernard Lecuyer, F. Millequant, « Les dockers: quelques traits d'une corporation charnière dans la chaîne des transports », in Georges Ribeill (éd.), Les frontières et identités professionnelles dans les métiers des transports, Actes de la journée d'études du 16 novembre 1984, Paris, Greco 55, p. 4.
46. J.-P. Avenel, Les dockers du Havre, op. cit.
47. C. Kerr, A. Siegel, «The Inter-Industry», op. cit.
48. L'Avenir des Ports, novembre 1964.
49. Le Petit Parisien, 2 octobre 1893.
50. Archives de la Préfecture de police (APP), BA 1371, rapport sur la grève des débardeurs du quai Henri IV du 9 au 12 mai 1895.
51. Marcel-Adolphe Hérubel, La France au travail. En suivant les côtes. De Dunkerque à Saint-Nazaire, Paris, Pierre Roger et Compagnie, 1912, pp. 139-140.
52. re éd. 1927), p. 74.
53. Jean-Pierre Castelain, Manières de vivre, manières de boire. Alcool et sociabilité sur le port, Paris, Imago, 1989, p. 55.
54. Jacques Loew, En mission prolétarienne, Paris, Économie et humanisme, 1946, pp. 19-20.
55. J. Loew; Les dockers de Marseille, analyse type d'un complexe, L'Arbresle, Économie et humanisme, 1945. L'analyse, menée à une période de chômage intense, souffre de reposer sur la seule expérience du père, docker novice, relégué vers les tâches les plus ingrates. Les solutions proposées, imprégnées de catholicisme social, trouvent par ailleurs leur inspiration dans l'ancien système corporatif présenté sous son meilleur jour.
56. R. Cornu, « Du portefaix au docker: des mythes indestructibles ? », in Dockers de la Méditerranée, op. cit., pp. 171-178.
57. J.-P. Castelain, Manières de vivre, op. cit., p. 19.
58. L'expression sert toujours d'insulte d'un quartier à l'autre de Marseille. Voir M. Lemoine, «Vue en coupe d'un volcan», in Marseille, Histoires de famille, Paris, Autrement, 1989, p. 98.
59. Joël Zattara, responsable de la sécurité sur le port de Marseille, distingue nettement le grappillage des vols de conteneurs par des bandes organisées capables «d'intégrer toute une série de maillons » portuaires. Voir A. Pacini, D. Pons, Dockers à Marseille, op. cit., pp. 304-308.
60. e congrès national de la CGTU, Paris, 26-31 août 1927, p. 161.
61. M. Quoist, La ville et l'homme. Rouen. Étude sociologique d'un secteur prolétarien, Éd. Ouvrières-Économie et humanisme, 1952, p. 50.
62. Voir également les nombreux entretiens consignés par S. Coutant, «Le docker du port de Rouen. La pratique du métier du statut de 1947 au début des années 1960 », maîtrise, université de Rouen, 1996, Annexes.
63. M. Quoist, La ville et l'homme, op. cit., p. 181.
64. AN, F7 13705.
65. L'Avenir des Ports, juin 1950.
66. e Congrès fédéral national, 12-13 juin 1980, Paris, supplément à L'Avenir des Ports d'octobre 1980, p. 26.
67. Congrès fédéral national, 15-16 juin 1972, Paris, Imprimerie de la Fédération, s. d., p. 45.
68. Intervention de Jacques Delahaye, ibid., p. 43.
69. Voir F. Baconnier, Le Salut par la corporation, Paris, Les œuvres françaises, 1935. Notons que Paul Chanson, partisan résolu du corporatisme et auteur d'ouvrages sur la question, préside à la même époque le syndicat des employeurs maritimes de Calais.
70. Voir les deux longs articles de C. Jannet, « Exposé des mœurs des Portefaix», et C. de Ribbes, « La Société des Portefaix de Marseille, son histoire et sa constitution actuelle », parus en 1865 dans le Bulletin de la Société internationale des Études pratiques d'Économie sociale.
71. Pour une analyse critique de ces structures et de leur historiographie, on se reportera notamment à R. Cornu, J. Duplex, B. Picon, Les industries portuaires à Marseille. Analyse contextuelle de la mobilité, Aix-Marseille, LEST, 1973; R. Cornu, «Du portefaix au docker: des mythes indestructibles ? », in Dockers de la Méditerranée, op. cit, pp. 171-178
72. e siècles, CERFISE, 1988; E. Claverie, «Les dockers à Marseille de 1864 à 1941. De leur apparition au statut de 1941», thèse d'histoire, université d'Aix-Marseille, 1996.
73. À Dunkerque. Voir J.-P. Hernandez, Alors, au port t'en souviens-tu?, chez l'auteur, 1987.
74. M. Maillard, « Les ouvriers du port de Rouen, 1815-1860», mémoire de maîtrise, université de Rouen, s. d.
75. e siècle, Racines mutualistes, 1991; C. Tetrel, « Les travailleurs portuaires du Havre, 1815-1852 », mémoire de DEA, université de Rouen, 1995
76. e siècles) », mémoire d'habilitation, université Paris I, 2000.
77. e siècle, «les ouvriers les plus privilégiés de Marseille». Ajoutons que près de 85 % d'entre eux savent lire et écrire. W. H. Sewell, « La classe ouvrière de Marseille sous la Seconde République: structure sociale et comportement politique », Le Mouvement social, no 76, juillet-septembre 1971, pp. 27-65.
78. À Marseille, le règlement de 1814 accorde un abattement de 90 % sur les droits d'entrée dans la société des portefaix. En 1841, ce montant atteint 1000 F, mais seulement 8 F pour les enfants de sociétaires. C. Gontier, Docks en stock, op. cit., pp. 10-21.
79. Au Havre, le droit d'entrée chez les Brouettiers s'élève à 2000 F contre 5 000 à 7000 F pour être admis parmi les «Tiens bon» de Dunkerque. C. Tetrel, «Les travailleurs portuaires », op. cit.; J.-P. Hernandez, Alors, au port, op. cit., p. 63.
80. e Congrès fédéral national, 13-14 mai 1982, Paris, Imprimerie de la Fédération, s.d., pp. 69-70.
81. R. Cornu, J. Duplex, B. Picon, Les industries portuaires, op. cit., p. 77.
82. W. H. Sewell, Gens de métier et révolutions. Le langage du travail de l'Ancien Régime à 1848, Paris, Aubier, 1983.
83. Pour Le Havre, voir C. Tetrel, « Les travailleurs portuaires», op. cit., pp. 93-94.
84. Charles Noiret, Projet de syndicat et de caisse d'échange (pour les ouvriers du port) et d'amélioration morale dans notre population, Le Havre, Imprimerie Maudot, Godfroy et Compagnie, 1876.
85. Propos rapportés dans La Révolution prolé tarienne du 10 décembre 1935.
86. D. Segrestin, «Du syndicalisme de métier», op. cit.
87. J. Dupuydauby, « La filière portuaire franç aise», op. cit.
88. L. Hislaire, Dockers, corporatisme, op. cit., p. 86.
89. Le maire du Havre est ainsi en relation épistolaire avec ses collègues de Dieppe, Harfleur, Marseille et Nantes. C. Tetrel, « Les travailleurs portuaires», op. cit., p. 85.
90. Position que soutiennent, en 1841, le maire du Havre et le premier adjoint de son collègue marseillais. En 1848, la municipalité havraise franchit le pas en bloc et retire son agrément au monopole de fait détenu par les sociétés corporatives. C. Gontier, Docks en stock, op. cit., p. 52
91. C. Tetrel, « Les travailleurs portuaires», op. cit., p. 86.
92. Selon Mazuy, cité par. C. Gontier, Docks en stock, op. cit., p. 4.
93. À l'exemple des brouettiers havrais. C. Tetrel, « Les travailleurs portuaires», op. cit., p. 86.
94. Initialement, seuls des « parents proches » pouvaient les remplacer.
95. H. Reynaud, «De l'application de la loi sur les congés payés aux entreprises de manutention dans les ports », thèse de droit, Paris, 1937, p. 77.
96. La Petite Gironde du 9 février 1914.
97. er décembre 1913.
98. AN, F7 13701, article 5 des statuts de l'Office.
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100. Centre des archives contemporaines (CAC), 920251, art. 16. Rapport sur les frais de manutention, ministère des Finances et des Affaires économiques, juin 1949.
101. CAC, 920251, art. 14. Avis de l'UNIM, le 19 mars 1954.
102. H. Grellet, Entre dockers et technocrates. La vie profonde des ports marchands, SOS Manuscrits éd., 1981, p. 49.
103. En 1951, un praticien la tient encore pour « malaisée ». G. Bérard, Les entreprises de manutention dans les ports maritimes, Marseille, 1951, p. 7.
104. H. Grellet, Entre dockers, op. cit., p. 33.
105. Ibid., pp. 90-91.
106. C. Noiret, Projet de syndicat, op. cit. L'auteur explique au passage comment les ouvriers, tenus d'offrir à boire aux contremaîtres, paient, en outre, sous forme de consommations, l'intérêt des avances consenties aux recruteurs par les débitants habituellement chargés d'échanger contre de l'argent les cartons ou les jetons remis aux dockers après chaque vacation.
107. AN, F7 13705. Affiche du syndicat, mai 1927.
108. À l'exemple de ce «bourreau de la Bastille » épinglé par l'Humanité du 17 octobre 1907.
109. L'Avenir des Ports, mai 1947.
110. Ibid., mars 1954.
111. APP, BA/1371.
112. Grève de débardeurs parisiens, mai 1895.
113. Témoignage d'Honoré Charrière, Port-Saint-Louis-du- Rhône, le 9 avril 1999.
114. E. Coppin, «Les dockers au commerce à Boulogne-sur- Mer», maîtrise, université Paris I, 1993, p. 13.
115. Propos rapporté par S. Coutant, « Le docker du port de Rouen», op. cit., p. 156.
116. La question est débattue à partir de 1925. Des propositions de loi, déposées en 1928 et 1929, sont enterrées en commission.
117. Le Prolétaire normand du 28 mai 1937. À Rouen, cette réticence se prolonge après la réunification de 1935 et pendant le Front populaire.
118. Voir M. Pigenet, « Le statut des dockers de 1947: acquis législatif et pratiques sociales », contribution au colloque « Construction d'une histoire du droit du travail», Aix-en-Provence, 20-21 septembre 2000, actes à paraître.
119. A. Le Marchand, « Le syndicalisme docker», op. cit., p. 84.
120. Conférence du président de l'UNIM, le 5 février 1948, devant l'Association des grands ports français. Journal de la marine marchande du 12 février 1948.
121. CAC, 920251, art. 14.
122. Note du sous-directeur de l'emploi, s. d. (vraisemblablement 1947, mais antérieure au vote de la loi).
123. Intervention de Gabas. Congrès fédéral national, Paris, 10-11 juin 1976, Paris, supplément à L'Avenir des Ports de septembre-octobre 1976, p. 70.
124. À Dunkerque, explique le secrétaire du syndicat local, celui-ci parle au nom des dockers, des contremaîtres, des conducteurs et des pointeurs, mais encore des menuisiers, gréeurs, magasiniers, mécaniciens du port ainsi que des portiqueurs d'Usinor. Congrès fédéral national, Paris, 13-14 juin 1974, Paris, s. d.
125. Propos recueilli par E. Guillaud, « Dockers et syndicalisme à Rouen, 1947-1962 », vol. 2, maîtrise, université de Rouen, 1994, p. 205.
126. CAC, 870150, art. 168. Note de la direction des ports maritimes, le 27 juin 1979.
127. CAC, 870150, art. 12. Note du directeur des ports maritimes, le 19 juillet 1967.
128. CAC, 870150, art. 161. Note du 22 mars 1971.
129. Quand bien même la réforme participe aussi d'un mouvement global de désengagement de l'État.
130. De l'automne 1991 à l'été 1992, les dockers participeront, en plus des actions locales, à 92 grèves nationales de 24 heures.
131. À laquelle le secrétaire général de la Fédération des ports et docks compare la carte professionnelle. L'Avenir des Ports, avril 1967.
132. L. Hislaire, Dockers, corporatisme, op. cit., p. 9.
133. e congrès fédéral, Montreuil, 19-21 juin 1996, supplément à L'Avenir des Ports, p. 9.