Scientific forestry and reforestation: The state and the production of a «Forest pulp» in Quebec the first half of xxth century;Foresterie scientifique et reforestation: L'État et la production d'une «Forêt à pâte» au Québec dans la première moitié du XXe siècle

Revue d'Histoire de l'Amerique Francaise

Volumn 60, Issue 1-2, 2006, Pages 61-93

  Castonguay, Stéphane ^a  

^a UNIVERSITÉ DU QUÉBEC À TROIS RIVIÈRES   (Canada)

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EID: 66649119222     PISSN: 00352357     EISSN: None     Source Type: Journal    
DOI: 10.7202/014595ar     Document Type: Review

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8. L'alliance entre science et politique qui fonde la lé gitimité de cet organisme fédéral est également responsable de la création d'une autre institution gouvernementale - le Conseil consultatif honoraire sur la science et l'industrie, qui supplantera la Commission en 1921. Michel Girard, «The Commission of Conservation As a Forerunner to the National Research Council», Scientia Canadensis, 15,2(1991): 19-40.
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10. Notamment, la Commission de la fonction publique créée en 1909 fera de la compétence technique un critère d'embauche et de promotion. John Edwin Hodgetts, William McCloskey Reginald Whitaker et V. Seymour Wilson, The Biography of an Institution. The Civil Service Commission of Canada, 1908-1967 (Montréal, McGill-Queen's University Press, 1972).
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22. Dans un ouvrage devenu classique, Man and Nature. Or Physical Geography As Modified By Human Action (Cambridge, Harvard University Press, 1965), réédition, George Perkins Marsh dénonce ces excès en 1864.
23. Sur la multiplicité des usages de l'eau et de la forêt, voir S. P. Hays, Conservation and the Gospel..., op. cit., 91-122.
24. Sur Pinchot, voir B. Balogh, «Scientific Forestry and the Roots...», loc. cit.
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28. K. Jacoby Crimes Against Nature, op. cit.
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30. Nous trouvons une description de ce travail dans James C. Scott, Seeing Like a State: How Certain Schemes to Improve the Human Condition Have Failed (New Haven, Yale University Press 1998), 11-24.
31. Raphaël Larrère, A. Brun, B. Kalaora, O. Nougarede, D. Poupardin, «Les reboisements en montagne depuis l'Empire», Actes du symposium international d'histoire forestière. Nancy, 24-28 septembre 1979 (Nancy, Ecole nationale du génie rural, des eaux et des forêts, 1982), 1: 254-279;
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34. Nancy Langston, Forest Dreams, Forest Nightmare (Seattle, University of Washington Press, 1995).
35. Pour les États-Unis, voir Joel Jason Orth, The Conservation Landscape: Trees and Nature on the Great Plains, thèse de doctorat (histoire agraire et études rurales), Iowa State University, 2004.
36. Pour le Canada, voir Kenneth Johnstone, Forêts et tourments. 75 ans d'histoire du Service fédéral des forêts 1899-1974 (Ottawa, Forêts Canada, 1991), 15 et 20-24.
37. Frances Ellen Stroud, The Return of the Forest: Urbanization and Reforestation in the Northeastern United States, thèse de doctorat, Columbia University, 2001;
38. Emily Brock, «The Challenge of Reforestation: Ecological Experiments in the Douglas Fir Forest, 1920-1940», Environmental History, 9,1 (janvier 2004): 57-79.
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44. Gifford Pinchot, «Forest Planting Leaflet. How to Transplant Forest Trees», Circular, 61 (1907).
45. Voir Marcel Hamelin, «Joly de Lotbinière, sir Henri-Gustave», Dictionnaire biographique du Canada (Sainte-Foy, Les Presses de l'Université Laval), 13: 563-570;
46. M. Gadoury, Sir Henry Gustave Joly de Lotbinière..., op. cit.
47. Anonyme, «Le reboisement», La Gazette des campagnes, 20 mars 1873, 183-184.
48. Tiré de M. Gadoury, Sir Henry Gustave Joly de Lotbinière... , op. cit, 29.
49. Voir également Léon Provancher, «Les arbres d'ornement et forestier», Naturaliste canadien, 6(1874): 254-263.
50. Henry-Gustave Joly de Lotbinière, «Rapport sur la sylviculture et les forêts du Canada», Document de la Session, 9,8(1878): 2-20.
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53. Sur l'organisation du Congrès et son impact sur la politique forestière au Canada, voir R. P. Gillis et T. R. Roach, Lost Initiatives..., op. cit., 31-49.
54. ainsi que K. Johnstone, Forêts et tourments..., op. cit., 14.
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63. Jean Chrysostome Langelier, Richesse forestière de la Province de Québec (Québec, s.é., 1905), 53-57.
64. R. P. Roach et T. R. Gillis, Lost Initiatives..., op. cit., 57.
65. «The Canadian Forestry Association», Canadian Forestry Journal, 1,1 (mars 1905): 4.
66. Par exemple, J. U. [sic] K. Laflamme, «Forestry Education» Canadian Forestry Journal, 4,1 (mars 1908): 37.
67. Une troisième école privée se trouve dans le domaine de Biltmore, un riche industriel établi en Pennsylvanie. James G. Lewis, Trained by Americans..., op. cit.
68. Sur B. E. Fernow, voir Andrew Denny Rodgers III, Bernard Eduard Fernow. A Story of North American Forestry (New York, Hafher, 1968) (facsimilé de l'édition de 1951, Princeton University Press).
69. B. E. Fernow, Lectures on Forestry (Kingston, British Whig, 1903).
70. J. U. [sic] K. Laflamme, «Forestry Education», loc. cit., 31-38.
71. À l'École de foresterie même, un cours porte sur l'ensemencement et la plantation en forêt, et son professeur, James William Toumey est l'auteur d'un Seeding and Planting. A Manual for the Guidance of Forestry Students, Foresters, Nurserymen, Forest Owners, and Farmers (New York, John Wiley, 1916) qui sera réédité en 1931.
72. Voir J. W. Toumey, Seeding and Planting..., op. cit.
73. et E. A. Sterling, «Artificial Reproduction of Forests», Forestry Quarterly, 6,3 (septembre 1908): 211-219.
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75. William Greely «Reforestation of the National Forests», Proceedings of the Society of American Foresters, 8,3 (octobre 1913): 261-277.
76. Comparer Henry S. Graves, «The Practice of Forestry by Private Owners», Yearbook of the Department of Agriculture (1899): 415-428
77. et, douze ans plus tard, «Forest Planting in the Northeastern and Lake States», Circular 195 (1911), US Department of Agriculture Forest Service. Entre-temps, Graves devient le directeur de l'École de foresterie de Yale. L'écrit de 1911 date de l'époque où Graves remplace Pinchot comme forestier en chef des États-Unis.
78. Rapport annuel du Ministre des Terres et Forêts de la province de Québec [ci-après RMTF], 1907-1908, 71.
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80. Reproduit dans RMTF, 1905-1906, 69-72.
81. RMTF, 1906-1907, 73.
82. o 25, RMTF, 1907-1908, 68-69.
83. gr J. U. [sic] K. Laflamme, «Forestry Education», Report of the Canadian Forestry, 7 (1906): 164.
84. J. U. [sic] K. Laflamme, «Forestry Education», traduit par J. W. Michaud «Un précurseur: Mgr Laflamme recteur de l'Université Laval», Forêt Conservation, 26,10 (octobre 1960): 11.
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86. Voir aussi RMTF, 1909-1910, viii.
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88. Sur ces questions, voir les articles de Guy Gaudreau, «L'État, le mesurage du bois et la promotion de l'industrie papetière», RHAF, 43,3 (automne 1989): 203-219;
89. James Iain Gow, Histoire de l'administration québécoise. Chronologie des programmes de l'État du Québec 1867-1970 ([Montréal] Département des sciences politiques, Université de Montréal), 1980.
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99. «Report of the Sub-Committee on Reforestation», The Forestry Chronicle, 14,1 (juin 1938): 32-41, en particulier page 35. Une telle expérience fut menée une première fois avec succès autour de l'abbaye d'Oka.
100. Voir Michel F. Girard, «L'aménagement de la forêt d'Oka à la lumière de l'écologie historique», Revue d'études canadiennes, 27,2 (été 1992): 5-21.
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103. G. C. Piché, «Les forêts du Canada», Revue trimestrielle canadienne, 3 (août 1917): 190-210, en particulier page 204.
104. Citons au Québec la Laurentide à Grand'Mère, la Riordon Pulp and Paper à Saint-Jovite (International Paper), la Brompton Pulp and Paper à Brompton et la Singer Manufacturing à Turso, la Price Brothers et la Brown au lac Beauport, la Donaconna Paper à Donnaconna, la Pejepscot Paper à Cookshire, la St Lawrence Paper et la Wayagamack Pulp and Paper à Trois Rivières. G. C. Piché, «Notes sur la pépinière de Berthierville», La vie forestière et rurale, 2,5 (sep-tembre à décembre 1923): 277-283.
105. RMTF, 1925-1926, 33;
106. RMTF, 1927-1928, 43;
107. «Private Initiative in Replanting. What the Pejepscot Paper Company Is Doing», Canadian Forestry Journal, 9,3 (mars 1913): 37.
108. Sur la Laurentide, voir René Hardy et Normand Séguin, Histoire de la Mauricie (Sainte-Foy, IQRC, 2004), 698-699.
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122. En 1901, le surintendant des réserves attribue l'absence de feux de forêt au retrait de lots à vendre et, conséquemment, à l'absence de colons. W. C. J. Hall, «The Laurentide National Park», Canadian Forestry Association. Report of the Second Annual Meeting. Ottawa March 7 1901 (Ottawa, Government Printing Bureau, 1901): 80-86 en particulier page 81.
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125. James Iain Gow, Histoire de l'administration publique québécoise 1867-1970 (Montréal, Presses de l'Université de Montréal, 1986), 94.
126. Rapport de la Commission de la colonisation de la province de Québec (Québec, Charles Pageau, 1904), 7.
127. RMTF, 1920-1921, 33-34;
128. RMTF, 1923-1924, 26. Au ministère de la Colonisation comme au ministère des Terres et Forêts, ce sont majoritairement des ingénieurs forestiers issus de l'École de foresterie qui effectuent ce travail de classification.
129. «The Forest Reserves of the Province of Quebec», Canadian Forestry Journal, 3,2 (juin 1907): 67-69, en particulier page 68.
130. En 1913, le Québec en compte quinze, principalement situées dans la région du Lac Saint-Jean et sur la rive sud du Saint-Laurent. «Quebec Forestry Notes», Canadian Forestry Journal, 9,9 (septembre 1913): 138.
131. «Forestry in Quebec», Canadian Forestry Journal, 9,11 (novembre 1913):167-168, en particulier page 167.
132. Rapport de la Commission de la colonisation de la province de Québec, 85.
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