Decision of Caesarius, military governor of Thebaid;Décision de caesarius, gouverneur militaire de thébaïde

Travaux et Memoires

Volumn 14, Issue 1, 2002, Pages 269-277

  Gascou, Jean ^a  

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EID: 65849429089     PISSN: 05771471     EISSN: None     Source Type: Journal    
DOI: None     Document Type: Article

References (13)

1. Sur cet agent, voir J.-M. CARRIÊ, « Séparation ou cumul ? Pouvoir civil et autorité militaire dans les provinces d'Egypte (.)», AnTard 6, 1998, p. 105-121, spec. p. 111-115.
2. Sont également à restituer, sous forme abrégé e, les titres et dignités de l'intéressé, partiellement conservés en II, 3. Pour l'élucidation des formules polyonymiques des hauts fonctionnaires du Bas-Empire, voir D. FEISSEL, I. KAYGUSUZ, « Un mandement impérial du vie siècle (.) », TM 9, 1985, p. 397-419, spec. p. 403-404, et
3. B. SALWAY, « What's in a Name? A Survey of Roman Onomastic Practice (.) », JRS 84, 1994, p. 124-145, spec. p. 141-143. Des cas où d'autres cognomina ont le dessus, dans l'usage, par rapport au dernier sont à vrai dire attestés, mais très rarement (ainsi pour le célèbre poète et homme d'État du milieu du VE siècle Cyrus, dont on sait à présent par P.Rain. Cent. 94, 1, que son dernier cognomen était Hiérax).
4. Texte copte dans CSCO 42, ser. copt., ser. sec, tome 4, p. 30-32; Caesarius est encore le destinataire de la lettre 12, ibid., p. 26-30. La traduction de ces deux lettres est dans CSCO 96, scr. copt., tome 8, p. 11-12 (lettre 12) et 13-14 (lettre 13). Ces textes sont obscurs, malgré une tentative d'exégèse d'U. MONNERET DE VILLARD, « La fondazione del Deyr el-Abiad », Aegyptus 4, 1923, p. 156-162. En revanche, l'inscription SB III 6311, parce qu'elle présente Caesarius comme KTÎO"TT|Ç (défunt alors) d'un édifice au couvent Blanc, éclaire un peu sa personnalité et atteste au moins de bonnes dispositions à l'égard de Chénouthé.
5. II est probablement mort en 466 (K. H. KUHN, « Shenoute », Coptic Encyclopedia VII, New York 1991, p. 2131).
6. C'était celle de R. RÉMONDON, « Le RVindob. inv. 25838 et les commandants militaires en Egypte au IVE siècle et au V», Chronique d'Egypte 40, 1965, p. 180-197, spec. p. 192-197
7. voir à présent la discussion de J.-M. CARRIÉ, « Séparation ou cumul ? » (cité n. 2), spec. p. 109-113.
8. Voir A. H. M. JONES, The Later Roman Empire, Oxford 1964, I, p. 487-488, se référant notamment à la Novelle 4, 2 de Théodose II (438). Pour un exemple de procès mettant aux prises une civile et un militaire, jugé par le gouverneur militaire, voir le dossier P.Mich. XIII 660 et 661 (SB XVI 12542).
9. Sont encore utiles P.Oxy. XVI 1876 à 1879 (devant le praeses) et ChLA XLIII 1247 ; pour une liste complète, voir D. et U. HAGEDORN, dans Essays and Texts in Honor of J. David Thomas (= P.Thomas), T. Gagos et R. S. Bagnali éd., American Studies in Papyrology 42, Atlanta 2001, p. 225-226, spécialement p. 225, n. 2 (réédition de ChLA III 217, qui entre à présent dans cette catégorie).
10. Voir P.Oxy. LXIII 4381, intr., p. 82, et J. GASCOU, Bibliotheca Orientalis 54, 1997, col. 378. Cependant, si ma conjecture ad II, 1 est fondée, cette ligne a pu aussi être rédigée dans la même cursive banale que I, 19.
11. Voir la liste de P. J. SIJPESTEIJN et K. A. WORP, Tyche 2, 1987, p. 178-180.
12. Voir J. GASCOU, « Les papyrus lycopolites de l'Académie des Inscriptions », dans Atti del XXII Congresso Internazionale di Papirologia, Florence 2001,1, p. 539-547, spec. p. 542. Pour une mise à jour du dossier des Maures des deux branches, hermopolite et lycopolite, voir P.Thomas 27, n. 1.
13. Voir B. PALME, « Die Officia der Statthalter in der Spatantike », AnTard 1, 1999, p. 108.