-
1
-
-
79953382231
-
-
Aligne, Patrologia Latina, n° 621.
-
Pierre Damien, Opuscule 36 De divina omnipotentia, Aligne, Patrologia Latina, t. 145, c. 603, n° 621
-
Opuscule 36 de Divina Omnipotentia
, vol.145
, pp. 603
-
-
Damien, P.1
-
3
-
-
79953442085
-
-
Rome, n° 437
-
Éd. C. SIanaresi, I placiti del« Regnum Italiae », III, 1, Rome, 1960, p. 333-335, n° 437
-
(1960)
I Placiti Del« Regnum Italiae »
, vol.3
, Issue.1
, pp. 333-335
-
-
Sianaresi, C.1
-
4
-
-
79955286287
-
Urban II and the Doctrine of Interpretation: A Turning point ?
-
S. Kuttncr (« Urban II and the Doctrine of Interpretation: A Turning point ? », Studio Gratiana 15, 1972 [= Essays... in Honor of Gaines Post], p. 71, rééd
-
(1972)
Studio Gratiana
, vol.15
, pp. 71
-
-
Kuttncr, S.1
-
5
-
-
79953597725
-
-
Londres
-
dans The History of Ideas and Doctrines [Variorum], Londres, 1980 et 1992, n. IV, p. 69-74) remarque «pic le texte d'une décré tai« d'Urbain II dans la Britannique emprunte un passage du prologue d'Yves de Chartres
-
(1980)
The History of Ideas and Doctrines [Variorum]
, Issue.4
, pp. 69-74
-
-
-
6
-
-
79955197678
-
La Collectio Britannica c la riemersione del Digesto
-
10
-
La collection renferme en effet des textes extraits d'anciens registres pontificaux qu'on ne pouvait consulter qu'à Rome. L'origine romaine de la première rédaction est -d'ailleurs généralement admise (A. Fiori, « La" Collectio Britannica "c la riemersione del Digesto », Rivista internazionale di Diritto comune, 9, 1998, p. 84, n. 10)
-
(1998)
Rivista Internazionale di Diritto Comune
, vol.9
, pp. 84
-
-
Fiori, A.1
-
8
-
-
79953372008
-
-
série latine, A, Turnhout
-
D. Norberg éd., dans le Corpus Christianorum, série latine CXL, A, Turnhout, 1982, p. 1063)
-
(1982)
Le Corpus Christianorum
, vol.140
, pp. 1063
-
-
Norberg, D.1
-
10
-
-
79953527073
-
-
Paris, 1932, rééd. Aalen
-
Les sentiments patriotiques que la décrétale du pape Léon IV pouvait exeiter chez les Français ont été signalés par P. Founder et G. Le Bras, Histoire des collections canoniques en occident, Paris, 1932, rééd. Aalen, 1972, II, p. 64
-
(1972)
Histoire des Collections Canoniques en Occident
, vol.2
, pp. 64
-
-
Founder, P.1
Le Bras, G.2
-
12
-
-
79953534930
-
-
Paris, c. 3629
-
C'est ce que pensent E. Amann et L. Guizard (Dictionnaire de théologie catholique, XV, 2, Paris, 1947, c. 3629)
-
(1947)
Dictionnaire de Théologie Catholique
, vol.15
, Issue.2
-
-
Amann, E.1
Guizard, L.2
-
13
-
-
79953500793
-
A propos d'une lettre d'Yves de Chartres
-
Y. Labonté, « A propos d'une lettre d'Yves de Chartres, Sciences ecclésiastiques 17, 1965, p. 67
-
(1965)
Sciences Ecclésiastiques
, vol.17
, pp. 67
-
-
Labonté, Y.1
-
14
-
-
79953577516
-
Perché chiedi il mo nome ?
-
Turin
-
Pour sauver la narration de Robert de Toriny, on a récemment conjecturé qu'lrnerius, qui probablement venait d'une famille allemande, avait étudié au Bee ou a Cacn avee Lanfranc (A. Padovani, Perché chiedi il mo nome ?Dio, natura e diritto nel secolo XII, Turin, 1997, p. 22-24). Il s'agit, faute d'indices, d'une hypothèse très hasardeuse
-
(1997)
Dio, Natura e Diritto Nel Secolo
, vol.12
, pp. 22-24
-
-
Padovani, A.1
-
15
-
-
79953367118
-
Monumenta Germaniae Historica
-
Robert de Monte, Cronica (révision des Gesta Normannorum Ducum de Guillaume de Jumièges), dans Monumenta Germaniae Historica, Scriptores, VI, p. 478: « Lanfrancus Papiensis et Guarnerius socius eins, repertis apud Bononiam legibus Romanis, quas Iustiuianus imperator anno ab incarnatione Domini 530. abbreviatas emendaverat, his inquam repertis operam dederunt cas legere et aliis exponere, sed Guarnerius in hoc perseveravit, Lanfrancus vero disciplinas liberales et litteras divinas in Galliis multos edocens, tandem in Beccum venit... » Quant à Lanfranc, il avait en effet un penchant pour le droit: on sait que dès sa jeunesse, à Pavie, il aimait provoquer les juges sur des questions de droit lombard, et il se peut qu'il se soit fait une renommée de connaisseur des lois dans le cadre de son enseignement des arts
-
Scriptores
, vol.6
, pp. 478
-
-
De Monte, R.1
-
18
-
-
79953532248
-
-
De iustitia et iure 1. lus civile
-
Odnfrède, Digeste I, 1, 6, De iustitia et iure 1. lus civile
-
Digeste
, vol.1
, pp. 1-6
-
-
Odnfrède1
-
19
-
-
79953522927
-
In margine ad una nota etimologica da Pepo ad Ugolino
-
In margine ad una nota etimologica da Pepo ad Ugolino », Rivista intcrnazionale di Diritto comune 6, 1995, p. 244-245)
-
(1995)
Rivista Intcrnazionale di Diritto Comune
, vol.6
, pp. 244-245
-
-
-
21
-
-
79952211152
-
Une école juridique française dans la première moitié du XI' siècle
-
Mélanges Aubcnas
-
cf. A. Gouron, « Une école juridique française dans la première moitié du XI' siècle », Recueil de Mémoires et Travaux... des anciens Pays de Droit écrit 9, 1974 (= Mélanges Aubcnas), 363-366
-
(1974)
Recueil de Mémoires et Travaux... des Anciens Pays de Droit Écrit
, vol.9
, pp. 363-366
-
-
Gouron, A.1
-
22
-
-
77954377060
-
An English Theologian's View of Roman Law. Pepo, Irnerius, Ralph Niger
-
1943, rééd
-
H. Kantorowiez, « An English Theologian's View of Roman Law. Pepo, Irnerius, Ralph Niger », Medieval and Renaissance Studies 1, 1941 (= 1943), rééd
-
(1941)
Medieval and Renaissance Studies
, vol.1
-
-
Kantorowiez, H.1
-
23
-
-
79953581466
-
Codicis Iustiniani et Institutionum baiulus . Eine neue Quelle zu Magister Pepo von Bologna
-
p. 3.
-
Ce passage des Moralia regum a été signalé et édité par L. Schinugge, » " Codicis Iustiniani et Institutionum baiulus ". Eine neue Quelle zu Magister Pepo von Bologna », Ius Commune, 6, 1977, p. 1-9, éd. du texte p. 3
-
(1977)
Ius Commune
, vol.6
, pp. 1-9
-
-
Schinugge, L.1
-
24
-
-
84976044124
-
Clarum Bononiensium lumen
-
Rome
-
P. Fiorelli, « Clarum Bononiensium lumen », dans Per Francesco Calasso, Rome, 1978, p. 415-459
-
(1978)
Per Francesco Calasso
, pp. 415-459
-
-
Fiorelli, P.1
-
26
-
-
79953340646
-
-
1140-1251, thèse, Paris
-
Dans l'école bolonaise de Jean d'Espagne, un canoniste du début du xIII'siècle, on discutait encore la quaeslio suivante: dans le cas où un testament avait prévu deux legs séparés pour les livres de droit et ceux de théologie, le Décret de Gratien rentrait-il dans l'un ou dans l'autre ? Jean d'Espagne aurait même emprunté à Laurent d'Espagne l'opinion selon laquelle il était plus sûr de le ranger parmi les livre de théologie, bien (que seulement « quia Dominus distinxit imperia »: P. Legendre, La panetration du droit romain dans le droit canonique classique de Gratien à Innocent IV (1140-1251), thèse, Paris, 1964, p. 91-95
-
(1964)
La Panetration du Droit Romain dans le Droit Canonique Classique de Gratien À Innocent
, vol.4
, pp. 91-95
-
-
Legendre, P.1
-
27
-
-
79953575898
-
-
E. Besta, I, 'opera d'Irnerio, Turin, 1896, I, p. 54 sq.). Le maître auquel Hosticnsis se réfère est peut-être Azon, mais il pourrait s'agir aussi de Jacques Balduini, de Homebon de Crémone ou plus probablement du dominus en droit canon, Jacques d'Albenga
-
(1896)
I, 'Opera d'Irnerio
, vol.1
, pp. 54
-
-
Besta, E.1
-
29
-
-
79953561576
-
Irnerio teologo, una riscoperta necessaria
-
42
-
voir E. Spagnesi, « Irnerio teologo, una riscoperta necessaria », Studi medievali, 3' série, 42, 2001, p. 313-311
-
(2001)
Studi Medievali
, vol.3
, pp. 313-311
-
-
Spagnesi, E.1
-
30
-
-
61149502156
-
-
Milan
-
La lex regia, par laquelle le peuple romain conféra (contulit) son pouvoir à l'empereur Vespasien en 69, est citée plusieurs fois dans le Corpus iuris ; Irnerius l'interprète comme une aliénation définitive du pouvoir tandis que les derniers glossateurs en font plutôt un mandat révocable. La glose irnérienne (F. C. von Savigny, op. cit. [n. 21], IV, p. 439) s'appuie sur la lex regia pour donner une interprétation historique du contraste entre Julien qui admet la désuétude des lois (Digeste I, 3, 32) et Constantin qui l'interdit (Code VIII, 52, 2): Julien-dit Irnerius-aurait parlé avant l'aliénation du pouvoir du peuple par la lex regia, Constantin après (E. Corlese, La norma giuridica, II, Milan, 1964, p. 126-132)
-
(1964)
La Norma Giuridica
, vol.2
, pp. 126-132
-
-
Corlese, E.1
-
31
-
-
79953487280
-
-
Innsbruck, 1874, rééd. Aalen, doc. 99
-
Je retiens la suggestion de G. Nicolaj, dont je la remercie, qu'il serait plus facile d'envisager la composition du Liber divinarum sententiarum après l'excommunication de 1119 - quand Irnerius disparaît pendant six ans de la documentation et semble s'être mis à l'écart pour expier sa faute - que pendant l'époque de sa jeunesse où il enseignait les arts libéraux. Il faudrait cependant supposer qu'il ait pris l'habit ecclésiastique après 1118, puisqu'il est difficile d'envisager qu'un laïc soit l'auteur d'un ouvrage théologique. Mais le document de 1125 (le dernier qui le mentionne) continue à lui donner le titre de iudex Bononiensis qu'il portait jusqu'à 1118 et qui ne convient à la rigueur qu'aux laïcs (éd. J. Kicker, Forschungen zur Reichs- und Rechtsgcschichte Italiens, IV, Innsbruck, 1874, rééd. Aalen, 1961, p. 143-144, doc. 99
-
(1961)
Forschungen Zur Reichs- Und Rechtsgcschichte Italiens
, vol.4
, pp. 143-144
-
-
Kicker, J.1
-
33
-
-
79953385494
-
-
Scriptures, et Scriplorcs rcr. germ, in usum scholarum 50, p. 15-16
-
Burchard abbé de Urspcrg, Chronicon, éd. Monumenta Germaniae Historica, Scriptures, XXIII, p. 342 et Scriplorcs rcr. germ, in usum scholarum vol. 50, p. 15-16
-
Monumenta Germaniae Historica
, vol.23
, pp. 342
-
-
De Urspcrg, C.1
-
34
-
-
66549121684
-
-
Pillius, dans le préambule de la deuxième rédaction du Libellas disputatorius (qu'on peut dater des années 1190), déplore l'habitude qu'on avait à Modène d'obliger les étudiants à apprendre par cœur gloses et summae (ce morceau du préambule a été publié par A. Belloni, Le questioni civilistiche del secolo XII. Da Bulgaro a Pillio da Medicina e Azzone [lus Commune, Sonderlieft 43], Francfort-sur-le-Main, 1989, p. 51). A -Modène on employait ces années-là les summae composées à Montpellier par Placentin, dont Pillius avait été vraisemblablement l'élève. Sûrement summa Codicis de Rogerius et peut-être la summa Trecensis circulaient aussi en Italie
-
(1989)
Le Questioni Civilistiche Del Secolo XII. da Bulgaro A Pillio da Medicina e Azzone [Lus Commune, Sonderlieft 43]
, pp. 51
-
-
Belloni, A.1
-
36
-
-
79953545250
-
Sanctissimum templum iustitiae, dans Le Pandette di Giustiniano. Storia e fortuna di un codice illustre
-
Aecad. « La Colombaria », Florence, rééd.
-
G. G. Archi, « Sanctissimum templum iustitiae, dans Le Pandette di Giustiniano. Storia e fortuna di un codice illustre (Aecad. « La Colombaria », Studi, 76), Florence, 1986, p. 11-36, rééd
-
(1986)
Studi
, vol.76
, pp. 11-36
-
-
Archi, G.G.1
-
41
-
-
79953381274
-
-
§ 08, Rogerius, § 39, p. 100
-
Par contre Martinus, qui nous est pourtant dépeint comme un spiritualis homo fidèle à la parole divine, aurait suivi renseignement du Christ quand il s'agissait de l'interprétation de la volonté du testateur, mais aurait préféré la loi de Justinien lorsqu'il s'agissait de la validité du testament (G. Haencl, éd. cit., Velus Colleclio, § 08, p. 54 ; Rogerius, § 39, p. 100
-
Velus Colleclio
, pp. 54
-
-
Haencl, G.1
-
42
-
-
79953445350
-
Di una niiova collezione délie Dissensiones dominorum cou I'edizione délla collezione stessa
-
Rome, § 37
-
collection publiée par V. Seialoja, « Di una niiova collezione délie Dissensiones dominorum cou I'edizione délla collezione stessa », Studi e Documenti di Storia e Diritlo, 1888, rééd. dans ses Studi giuridici II, Rome, 1931, § 37, p. 317)
-
(1931)
Studi e Documenti di Storia e Diritlo, 1888
, pp. 317
-
-
Seialoja, V.1
-
43
-
-
79953407283
-
Les " Quaestioncs do juris sTihtilitatibus ": Une œuvre du maître parisien Albéric
-
A. Gourou, « Les " Quaestioncs do juris sTihtilitatibus ": une œuvre du maître parisien Albéric », Revue historique 303, 2001, p. 343-352
-
(2001)
Revue Historique
, vol.303
, pp. 343-352
-
-
Gourou, A.1
-
44
-
-
77953261437
-
L'auteur du Brachylogus: un compagnon de Thomas Decket en exil ?
-
Rome
-
L'écho de la guerre idéologique que faisait l'archevêque de Cantorbéry exilé à Auxcrre contre Henri II d'Angleterre a été dernièrement fort subtilement perçu par André Gourou dans le Brachylogus (A. Gourou, « L'auteur du " Brachylogus ": un compagnon de Thomas Decket en exil ? «, dans A Ennio Cortesc, Rome, 2001, II, p. 163-173), ce qui lui a permis d'avancer une brillante hypothèse sur l'origine dans des milieux ecclésiastiques anglo-français d'un ouvrage de droit romain dont on discute depuis toujours
-
(2001)
A Ennio Cortesc
, vol.2
, pp. 163-173
-
-
Gourou, A.1
-
45
-
-
79953572502
-
Leges e canones negli atti privali dell'alto Medioevo: influssi provenzali in Italia
-
Milan
-
Les actes notariés ont commencé à invoquer l'ordre canonique conjointement avec la loi romaine au .V siècle en Lombardie (G. Vismara, « " Leges " e " canones " negli atti privali dell'alto Medioevo: influssi provenzali in Italia », Studia gratiana 20, 1976 (= Mélanges I'ransen), rééd. dans ses Scritti di storia giuridica, II, Milan, 1987, p. 3-47)
-
(1976)
Studia Gratiana
, vol.20
, pp. 3-47
-
-
Vismara, G.1
-
46
-
-
84895650762
-
La stipulai in nell'ctà imperiale romana e durante il Medio Evo
-
297-300, 307-308, rééd.
-
Ensuite le binôme lex romana-aucloritas ecclesiattica a paru, peu avant l'an Mil, en Provence (G. Vismara, art. cit.) et peu après cette date en Italie (F. Brandileone, « La stipulai in nell'ctà imperiale romana e durante il Medio Evo » Rivista di Storia del Diriito ilaliano 1, 1928, p. 291, 297-300, 307-308, rééd
-
(1928)
Rivista di Storia Del Diriito Ilaliano
, vol.1
, pp. 291
-
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Brandileone, F.1
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