Post mortem democracy;La démocratie post mortem

Revue Philosophique de Louvain

Volumn 101, Issue 1, 2003, Pages 123-137

  Mulgan, Tim ^a  

^a UNIVERSITY OF AUCKLAND   (New Zealand)

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EID: 61449215362     PISSN: 00353841     EISSN: 17831768     Source Type: Journal    
DOI: 10.2143/rpl.101.1.725     Document Type: Review

References (3)

1. J'expose ces arguments en détail dans Mulgan, T. , (1999) 'The Place of the Dead in Liberal Political Philosophy', Journal of Political Philosophy, 7, 1, pp. 52-70
2. et Mulgan, T. , 'Neutrality, Rebirth and Inter-generational Justice', Journal of Applied Philosophy, 19,1, pp. 3-15. L'opposition ne se joue pas entre ceux qui croient en une vie après la mort et ceux qui n'y croient pas puisque plusieurs formes de protestantisme chrétien soutiennent 'l'hypothèse selon laquelle les morts n'existent plus'. Les traditions qui adhèrent, quant à elles, à l'hypothèse opposée incluent les conceptions du monde traditionnelles de plusieurs peuples indigènes ainsi que les croyances religieuses fondées sur la renaissance (rebirth) et la réincarnation.
3. [Note du traducteur: Sur cette question, voir notamment Van Parijs, P. (1999) 'The Disfranchisement of the Elderly, and Other Attempts to Secure Intergenerational Justice', Philosophy and Public Affairs, 27, 4, pp. 292-333.