Towards an end to the crisis? Indecision continues in the Berlin metropolis after a decade of political rivalries;Vers une sortie de la crise? Les atermoiements de la métropole berlinoise au terme d'une décennie de querelles de clocher

Revue Francaise d'Administration Publique

Volumn 107, Issue 3, 2003, Pages 333-344

  Halpern, Charlotte ^a   Häussermann, Hartmut ^b  

^a Centre for Political Research of Sciences   (France)

^b Institut für Stadt und Regional Planung   (France)

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EID: 27844542350     PISSN: 01527401     EISSN: None     Source Type: Journal    
DOI: 10.3917/rfap.107.0333     Document Type: Article

References (25)

1. La RFA organisa le soutien financier de cet « avant-poste du monde libre » (Berlinhilfe) jusqu'en 1990.
2. Rytlewski (R.), « Berliner Politik : Zwischen Kiez und Stadtstaat », in : Süss (W.), Ryt-lewski (R.) (Hrsg.), Berlin. Die Hauptstadt, Bonn, Bundeszentrale für politische Bildung, 1999, p. 295-329.
3. De larges subventions fédérales furent également octroyées au secteur privé (Berlinförderung) : à cette occasion, le salaire brut de chaque actif était majoré de 8 %.
4. Mayer (M.), « Les mouvements sociaux comme acteurs politiques dans les villes européennes : leur évolution entre les années 1970 et 1990 », in : Bagnasco (A.) et Le Galès (P.) (dir.), Villes en Europe, Paris, La Découverte, 1997, p. 173-200. Ce mouvement donna naissance à un parti politique, la Liste alternative (AL), qui participa à une éphémère coalition au Sénat de Berlin-Ouest entre janvier 1989 et décembre 1990.
5. Bernt (M.), Rübergeklappt. Die « Behutsame Stadterneuerung » im Berlin der 90er Jahre, Berlin, Schelzky & Jeep, 2003.
6. 20 % des habitants de ces quartiers partirent s'installer dans les ensembles modernes de Marzahn, Hellersdorf ou Hohenschönhausen, tandis que tout ce que Berlin-Est comptait de dissidents restaient dans ces immeubles décatis.
7. Comme dans le reste du pays, la réunification de Berlin se traduisit par le transfert du système politique et institutionnel ouest-allemand à la partie orientale de la ville (Offe (C.), « Une "voie allemande" de la transition ? L'ex-RDA au regard de ses voisins d'Europe de l'est », Politix, no 33, 1996, p. 5-28). À l'instar des villes de Brême et Hambourg, Berlin fut dotée d'un statut de ville - Land (Stadstaat), d'un corps législatif élu (Abgeordnetenhaus) et d'un exécutif (Senat).
8. Le PDS est un parti néo-communiste qui s'est constitué dans les Länder de l'est au lendemain de la réunification.
9. Cette capacité de blocage n'est pas étrangère aux limites apportées au statut des Bezirke par la réforme du 28 février 2001.
10. Ce trait commun du système politique et institutionnel allemand est renforcé en cas de coalition.
11. Häussermann (H.) et Simons (K.), « Developing the New Berlin : Large projects - Great risks », Geographische Zeitschrift, 89, 2001, Heft 2+3, p. 124-33.
12. Lenhart (K.), Berliner Metropoly. Stadtentwicklungspolitik im Berliner Bezirk Mitte nach der Wende, Opladen, Leske + Budrich, 2001.
13. Le président du groupe parlementaire de la CDU à l'Assemblée législative occupait une position centrale à la tête de cet organisme financier, et plusieurs élus siégeaient au conseil de surveillance.
14. Rose (M.), Eine ehrenwerte Gesellschaft. Die Bankgesellschaft Berlin, Berlin, Transit, 2003.
15. Le Land de Berlin bénéficie à ce titre d'un soutien du gouvernement fédéral (Finanzausgleich).
16. La ville et le secteur privé local cessèrent de percevoir les subventions fédérales qui avaient été accordées à Berlin-Ouest.
17. Krätke (S.), Borst (R.), Berlin. Metropole zwischen Boom und Krise, Opladen, Leske + Budrich, 2000.
18. Mäding (H.), « Die Finanzen des Landes Berlin », in : Röber (M.), Schröter (E.), Woll-mann (H.) (Hrsg.), Moderne Verwaltung für moderne Metropolen. Berlin und London im Vergleich, Opladen, Leske + Budrich, 2002, p. 78-105.
19. Häussermann (H.), Kapphan (A.), Berlin : von der geteilten zur gespaltenen Stadt ? Sozialräumli-cher Wandel seit 1990, Opladen, Leske + Budrich, 2000. En 2002, le taux de chômage à Berlin était de 18 % contre 13 % en 1993.
20. Häussermann (H.), Holm (A.), Zunzer (D.), Stadterneuerung in der Berliner Republik : Moderni-sierung in Berlin-Prenzlauer Berg, Opladen, Leske & Budrich, 2002.
21. Créé en 1991, le Stadtforum était composé de représentants du Sénat, des Bezirke, des organisations patronales et syndicales, d'élus du Land de Berlin ou au Bundestag, d'experts et de journalistes (Kleger (H.), Fiedler (A.), Kuhle (H.) (Hrsg.), Vom Stadtforum zum Forum der Stadt, Amsterdam, Verlag Fakultas, 1996).
22. Strom (E.), Building the New Berlin. The Politics of urban development in Germany's Capital City, Boston, Lexington Books, 2001.
23. Pickvance (C.), « From Urban Social Movements to Urban Movements », International Journal of Urban and Regional Research, vol. 27, no 1, 2003, p. 102-109.
24. La CDU obtint 23,8 % des suffrages contre 40,8 % en 1999, tandis que le SPD recueillait 29,7 % des suffrages contre 22,4 % en 1999. Le SPD envisagea de constituer une alliance avec les Verts (9,1 %) ou le FDP (9,9 % des voix), mais cette tentative échoua au bout de deux mois de tractations.
25. Le PDS bénéficia de 47 % des suffrages exprimés à Berlin-Est, et de 22 % des voix dans le reste de la ville.